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  • Présentation du programme de l’après-midi par Bernard Mossé
  • Intervention de Fabrice Maze
  • Intervention d’Alba Romano Pace
  • Questions-réponses sur l’extrait de Jacqueline Lamba
  • Questions-réponses sur l’extrait de Jacques Hérold
  • Questions-réponses sur l’extrait de Victor Brauner
  • Table ronde : Romancer la Villa
  • Julotte Roche, auteure de Max et Leonora
  • Questions-réponses avec Julotte Roche
  • Brigitte Allègre, auteure de Le brûleur de Loups
  • Questions-réponses avec Brigitte Allègre
  • Diana Pollin, auteure de Le Maître du Jeu
  • Questions-réponses
  • Introduction de Pamela King
  • Intervention de Monique Deregibus
  • Questions-réponses avec Monique Deregibus

Les lieux de la résistance artistique à Marseille - partie 2 (après-midi).mp4 [29 septembre 2022]

 Description

Journée de colloque organisée par l’association Villa Air-Bel, les Musées de Marseille et l’Institut SoMuM d'Aix-Marseille Université, en lien avec le mémorial des déportations.

Dans cette première partie, vous retrouverez les interventions suivantes : 
Fabrice Mazeréalisateur documentaristeLes surréalistes en images, avec diffusion d'extraits des documentaires sur Jacqueline Lamba, Victor Brauner et Jacques Hérold
Table ronde « Romancer la Villa » avec Julotte Roche, auteure de Max et Leonora (2009), Brigitte Allègre, auteure de Le brûleur de Loups (2021), Diana Pollin, auteure de Le Maître du Jeu (2020)
Monique Deregibus, artiste et photographe : Boîte en valise pour Jacqueline Lamba, introduction de Pamela King, galeriste. 

Il fut une époque où Marseille, bien malgré elle, en des temps difficiles, devint le centre culturel de l’art et de l’intelligence persécutés fuyant la barbarie nazie, un repère pour les artistes « dégénérés », les philosophes antitotalitaires, les surréalistes convaincus ou dissidents, les rebelles antifascistes, en quête d’un improbable bateau pour la liberté qui avait déserté notre ancien monde.
C’était devenu, pour beaucoup de ces indésirables pourchassés par Vichy, un piège, une nasse, une « Planète sans visa ». Au cœur de cette attente désespérée, une résistance, comme il y en eut bien d’autres, celle que Varian Fry et la Villa Air Bel – le Château Espère Visa – incarnèrent, une résistance de sauvetage, une résistance par l’art et la culture qui permit de sauver un grand nombre d’entre eux.

Cette journée s’inscrit dans le cadre des Rencontres internationales, co-organisées avec l’association Varian Fry France « Résister par l’Art et la Culture à Marseille et dans la Région pendant la Guerre (1939-1945) ». Le projet de l’association Villa Air-Bel est de créer un centre d’interprétation sur les lieux mêmes où cette histoire s’est déroulée. Il s’agit de rendre cette mémoire aux habitants de la cité, aux Marseillais, et bien au-delà, et d’en tirer les leçons pour aujourd’hui.

Cliquez ici pour voir la partie 1

Mots clés : citoyennete culture guerre histoire histoire de l'art marseille musee resistance surrealisme varian fry villa air bel

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